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The Self-destruction of the West


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Voilà désormais plus de 10 000 ans que la civilisation occidentale s'est installée et voilà 10 000 ans qu'elle viole le sens même de la nature : la vie. En s'appropriant sans concession ce qui l'entourait, l'homme de l'Ouest a vu son horizon ployer sous la charge de la destruction qu'il lui avait lui-même réalisée. Sommes-nous des lycanthropes ou des vampires? Ces monstres si terrifiants qui sortent de notre imagination sont-ils en réalité la copie de notre comportement dévastateur? Prédateurs, nous pompons sans remords les énergies qui nous entourent. Jusqu'où ira-t-on?.




The Light-Green Society


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The accelerating interpenetration of nature and culture is the hallmark of the new "light-green" social order that has emerged in postwar France, argues Michael Bess in this penetrating new history. On one hand, a preoccupation with natural qualities and equilibrium has increasingly infused France's economic and cultural life. On the other, human activities have laid an ever more potent and pervasive touch on the environment, whether through the intrusion of agriculture, industry, and urban growth, or through the much subtler and more well-intentioned efforts of ecological management. The Light-Green Society limns sharply these trends over the last fifty years. The rise of environmentalism in the 1960s stemmed from a fervent desire to "save" wild nature-nature conceived as a qualitatively distinct domain, wholly separate from human designs and endeavors. And yet, Bess shows, after forty years of environmentalist agitation, much of it remarkably successful in achieving its aims, the old conception of nature as a "separate sphere" has become largely untenable. In the light-green society, where ecology and technological modernity continually flow together, a new hybrid vision of intermingled nature-culture has increasingly taken its place.




La civilisation anti-nature


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Vivre en parenté avec la nature, notre civilisation ne sait plus ce que cela signifie. L'homme occidental détruit le monde rural, il aseptise le milieu naturel. Son obsession : " exercer un contrôle sur tout. Son idéal : un environnement droit et propre. Bientôt, routes et allées quadrilleront les forêts. L'homme aura ruiné ce qui lui permet de respirer et anéanti l'un des hauts lieux de l'imaginaire. Ses liens avec la nature semblent résumés dans cette alternative : détruire ou maîtriser. Il oppose un seul mot d'ordre à la destruction massive, celui de protection. Et au bout du compte : même incompréhension, même violence, même impasse. Car l'homme confond la protection et l'assujettissement. En fait il a peur. Peur qu'il puisse exister quelque chose d'extérieur à l'humanité. Peur de tout ce qui ne porte pas la marque de sa volonté. Peur de ce qu'il ne peut ni prévoir ni planifier. Sans même savoir qu'il agit ainsi par peur de sa propre nature, la plus obscure, la plus sauvage, mais aussi la plus féconde : ses émotions, ses instincts, ses pulsions. On ne peut vivre en parenté avec la nature sans comprendre ce que nous sommes. Et qui sait si la pierre, l'arbre, la nuit ou le serpent ne nous offrent pas les clefs d'une véritable connaissance de soi ?




La civilisation anti-nature


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Vivre en parenté avec la nature, notre civilisation ne sait plus ce que cela signifie. L'homme occidental détruit le monde rural, il aseptise le milieu naturel. Son obsession : exercer un contrôle sur tout. Son idéal : un environnement droit et propre. Bientôt, routes et allées quadrilleront les forêts. L'homme aura ruiné ce qui lui permet de respirer et anéanti l'un des hauts lieux de l'imagination. Ses liens avec la nature semblent résumés dans cette alternative : détruire ou maîtriser. L'homme confond la protection et l'assujettissement par peur de tout ce qu'il ne peut ni prévoir, ni planifier. Or on ne peut vivre en parenté avec la nature sans comprendre ce que nous sommes. Dans cet essai visionnaire sur le traitement que l'homme inflige à la nature, François Terrasson nous livre une vision radicale, au-delà de l'opposition entre nature et culture et de la seule logique de protection de l'environnement.







Civilization and Its Discontents


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(Dover thrift editions).




The Radical Use of Chance in 20th Century Art


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To many, chance and art are antagonistic terms. But a number of 20th century artists have turned this notion on its head by attempting to create artworks based on randomness. Among those, three in particular articulated a well-argued and thorough theory of the radical use of chance in art: André Breton (writer), John Cage (composer) and François Morellet (visual artist). The implications of such a move away from established aesthetics are far-reaching, as much in conceptual as in practical terms, as this book hopes to make clear. Of paramount importance in this coincidentia oppositorum is the suggested possibility of a correlation between the artistic use of chance and a system of thought itself organised around chance. Indeed placing randomness at the centre of one’s art may have deeper philosophical consequences than just on the aesthetical level.




Nature


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