Au roy. Sire. Le cardinal de Noailles,... & les autres evêques qui ont eû l'honneur de porter à V. M. leurs justes plaintes de ce qui s'est passé l'année derniere à l'Assemblée d'Ambrun contre le droit des evêques, contre les regles canoniques, contre les loix les plus sacrées, & les saintes libertez de l'Eglise de France, prennent la confiance de venir encore aux pieds du throne, & de presenter à V. M. leurs très-humbles remontrances dans une affaire commune...


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