Author : Benton L. Bradberry
Publisher : AuthorHouse
Page : 366 pages
File Size : 36,20 MB
Release : 2018-07-17
Category : History
ISBN : 1546251391
Book Description
Comme l’indique le titre, Le mythe du sale boche, les Allemands ne sont pas les ultimes « vilains » de l’histoire. Ils ne sont pas non plus, comme le veut la version officielle, les saboteurs de la paix européenne et la cause des deux Guerres mondiales du siècle dernier. Les atrocités qu’ils auraient soi-disant perpétrées durant ces conflits armés furent inventées de toute pièce par la propagande alliée afin d’obtenir l'appui de l'opinion publique. La propagande de la Shoah, qui est apparue après la Seconde Guerre mondiale, a par ailleurs grandement contribué à consolider cette haine du « sale boche ». Mais cette version officielle de l’histoire est-elle véridique ? L'Allemagne est-elle réellement l'incarnation du mal absolu ? Dans ce livre, l'auteur brosse un tableau différent. Il explique en effet que l'Allemagne n'était la cause ni de la Première ni de la Seconde Guerre mondiale, mais dans les deux cas, la victime de l’agression des alliés. L'instabilité engendrée par la guerre 14-18 a permis à la révolution bolchévique russe de 1917 d’éclater, ce qui a apporté au monde le communisme. Or, Hitler et l'Allemagne ont tout de suite compris que le communisme international, de sa base en Union soviétique, était une menace existentielle non seulement pour l'Occident, mais pour toute la civilisation chrétienne. L'Allemagne hitlérienne a dès lors amorcé une lutte à mort contre cette idéologie sanguinaire. Loin d'être le saboteur de la paix européenne, l'Allemagne, en s’érigeant en rempart, a donc empêché la révolution bolchévique de s’étendre à toute l'Europe. Il est dommage que les alliés n'aient pas vu la Russie communiste sous le même jour que l’Allemagne. Cette alliance entre les pays occidentaux et le communisme a eu des conséquences désastreuses sur la civilisation occidentale chrétienne. L'auteur se dit convaincu que la France, la Grande-Bretagne et les États-Unis se sont battus du mauvais côté.