Book Description

Le monde " Les photos d'Herman Leonard, celles d'Oscar Pettiford par exemple, racontent une histoire simple, une histoire en noir et blanc comme les notes sur une portée ou les touches d'un piano. " Elle " Une galerie de portraits-souvenirs exceptionnels à la gloire du jazz. " La république de Seine-et-Marne " De quoi faire se pâmer tous les amoureux du jazz ! " Libération (...) outre un manuel de l'esthétique " Swing Street " et un long poème visuel en hommage à la nostalgie be-bop, l'une des plus attachantes histoires du jazz des années 50. Le quotidien du médecin " Ses photographies en bichromie, réalisées à partir de 1948, dévoilent, au-delà des visages, par les attitudes et les mimiques, l'âme même des musiciens. L'Evénement du Jeudi " C'est tout bonnement à couper le souffle. " Le Nouvel Observateur " Confident des musiciens, Herman Leonard a su avec son appareil voler un peu de leur secret. (...) Du jazz plein les yeux. Photo " Le jazz avait déjà ses poètes, ses historiens, ses techniciens, il a trouvé son photographe. Herman Leonard donne aux amateurs du monde entier la vision concrète des hommes qu'ils admirent. " L'Express " De tous les photographes du jazz, Herman Leonard, un Américain vivant à Paris, est sans conteste le plus raffiné. " Photo Reporter " Ses images ont la densité émotionnelle du concert " live " et la rigueur du studio. Tout simplement fabuleux : il ne manque pas une veine saillante, une volute de fumée à la légende passionnée des " jazz-heros. " Paris Match " Des documents d'une beauté exceptionnelle. " Jazz magazine " Je ne peux qu'évoquer la finesse du grain, la texture précieuse de ces clichés. Souligner combien Leonard nous révèle la photogénie du jazz. Peut-être parce que tout ce jeu de noirs et blancs se répondant et s'impliquant mutuellement, emblématise la trame même du jazz cependant qu'il assure la structuration lumineuse de la photographies. " Smithsonian Institution- Washington " De toute évidence, votre travail mérite d'être présenté à la Smithsonian Institution en même temps que d'autres trésors nationaux tels que les manuscrits de Duke Ellington, la trompette de Dizzy Gillepsie et les violons de Stradivarius ! Nous serions très heureux et honorés d'établir une 'Collection Herman Leonard' réunissant vos photos. " Sunday Times- Londres " Herman Leonard ne se trouva pas seulement là où il fallait au bon moment, il a saisi la richesse tonale et l'aspect fugitif du jazz comme nul autre photographe actuel. Design Week- Londres " Il n'y a aucun doute, Leonard est maître de la photographie en noir et blanc. Ses superbes compositions, aux subtiles gradations de lumière, ressuscitent l'époque du be-bop, où les jeunes créateurs de cet art novateur et vigoureux défièrent le monde de la musique. " Russell Davies-BBC Arts Review " Plus que tout autre photographe, Leonard a saisi les géants du jazz des années 40 et 50 dans un style rendant avec une extraordinaire intensité les grands moments de l'histoire de cette musique. " Creative arts- Los Angeles " Billie Holiday chantait le blues, Dizzy Gillepsie sidérait le public du Royal Roost. Herman Leonard a préservé pour l'éternité chaque note incandescente et nuance de cette grande époque du jazz. " People Magazine-New York " il existe peu de remarquables photographes du jazz des années 40 et 50, mais Herman Leonard en est le plus extraordinaire. " Washington Review-Washington " Photo après photo, le spectateur est frappé par cet ineffable 'moment de vérité' que Leonard a pu saisir. " Quincy Jones s'adressant à des musiciens à une séance d'enregistrement de Michael Jackson " Ce type fait avec son appareil photo ce que vous faites avec vos instruments ! " Ray Brown-Contrebassiste " Herman est le Charlie Parker des photographes ! " Miles Davis " Herman ? C'est lui le meilleur ! " Dizzy Gillepsie " Peut-on aller plus loin ? "